Grossouvre

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Grossouvre
Grossouvre
Blason de Grossouvre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité CC Les Trois Provinces
Maire
Mandat
Robert Chollet
2023-2026
Code postal 18600
Code commune 18106
Démographie
Gentilé Grossouvrois
Population
municipale
263 hab. (2021 en diminution de 7,07 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 52′ 46″ nord, 2° 56′ 17″ est
Altitude Min. 182 m
Max. 230 m
Superficie 15,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Dun-sur-Auron
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Grossouvre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Grossouvre
Géolocalisation sur la carte : Cher
Voir sur la carte topographique du Cher
Grossouvre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Grossouvre

Grossouvre est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Cette localité ne doit être confondue avec celle de Grossœuvre, dans l'Eure.

Ses habitants sont appelés les Grossouvrois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située sur l'ancien canal de Berry et sur l'Aubois.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sancoins à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 800,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records SANCOINS (18) - alt : 203m, lat : 46°49'52"N, lon : 2°55'35"E
Records établis sur la période du 01-01-1949 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,4 0 2 4,2 8,1 11,5 13,2 12,8 9,1 6,9 3,2 0,9 6
Température moyenne (°C) 3,9 4,6 7,8 10,7 14,6 18,2 20,3 20,2 16 12,2 7,4 4,4 11,7
Température maximale moyenne (°C) 7,4 9,1 13,7 17,2 21,1 24,9 27,5 27,6 22,9 17,6 11,5 7,9 17,4
Record de froid (°C)
date du record
−22,4
16.01.1985
−20
15.02.1956
−13
01.03.05
−7,8
08.04.03
−4,8
07.05.1957
0,2
07.06.1968
3,8
01.07.1975
1,5
29.08.1998
−1,2
20.09.1962
−9,8
31.10.1997
−11,2
24.11.1998
−14,8
23.12.1963
−22,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
19
30.01.02
23,6
28.02.1960
29,6
25.03.1955
31,6
16.04.1949
34
25.05.1953
40
27.06.11
41,6
24.07.19
42,5
11.08.03
36,8
07.09.23
32,1
02.10.23
25
07.11.15
19,8
16.12.1989
42,5
2003
Précipitations (mm) 62,6 55,1 54 66,8 79,7 61 60,8 65,6 65,6 76,9 77,8 75 800,9
Source : « Fiche 18242001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Grossouvre est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,6 %), prairies (32,7 %), terres arables (28,7 %), zones urbanisées (2,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 165, alors qu'il était de 170 en 2013 et de 167 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 78,2 % étaient des résidences principales, 7,9 % des résidences secondaires et 13,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Grossouvre en 2018 en comparaison avec celle du Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,9 %) supérieure à celle du département (7,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,2 % en 2013), contre 67,1 % pour le Cher et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Grossouvre en 2018.
Typologie Grossouvre[I 1] Cher[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 78,2 79,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,9 7,5 9,7
Logements vacants (en %) 13,9 12,9 8,2

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Grossouvre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Grossouvre.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 85,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 153 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 93 sont en aléa moyen ou fort, soit 61 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes de la localité sont en français moyen Grosse soue 1342[17], Grosse soe 1447, Grosse souve 1483, Grossouve 1499, Gros-ouvre 1748, Grossouvre 1772.

Les attestations du nom Grossouvre ne remontent qu'aux formes du français moyen, donc très tardives. Ce qui rend très hypothétique de le faire dériver du latin grossa aqua (grand réservoir d'eau), ou grossum opus (grande œuvre)[18]. Cependant Il pourrait être rapproché de Grossœuvre dans l'Eure, qui dérive de Grandis Silva, en 1137. Il pourrait être issu de grosse "grande étandue" + soue, sove attr. de selve, silva "forêt"[19] et pourrait signifier grossa silva (grande forêt).

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune de Grossouvre trouve son origine en la seigneurie de Grossouvre, cédée en 1364 à Jehan de Grivel[20],[21] par un duc de Bourbon, Louis II, dont il était le sénéchal et bailli[18]. Sous l'Ancien régime, la seigneurie de Grossouvre faisait en effet partie du Bourbonnais, comme Germigny, et a été rattachée après la Révolution au département du Cher alors que le département de l'Allier recouvre l'essentiel du Bourbonnais. Dès 1443 une forge est mentionnée à Grossouvre. Toutes les conditions y sont réunies pour les activités de métallurgie, il y a du minerai de fer, du bois pour chauffer les forges et fabriquer du charbon de bois et de l'eau avec les nombreux étangs

En 1779, Jean-François Durand (Monteguet 1737 - Grossouvre 1802)[22], bailli du Breuil en Bourbonnais, reçoit la seigneurie de Grossouvre, affermée par le comte de Grivel, puis la lui achète en par contrat passé à Colmar. Il est le premier maître de forges « moderne » à Grossouvre. En 1791 il fait travailler à Grossouvre 840 ouvriers. Il coopérait avec les Forges de Guérigny exploitées par Pierre Babaud de la Chaussade. Jean-François Durand, seigneur de Grossouvre (il prête foi et hommage à la marquise de Bonneval en 1785), sera maire de la Chapelle-Hugon, la commune de Grossouvre n'existant pas encore. La plaque tombale en fonte de Jean-François est encore visible aujourd'hui dans le cimetière de la Chapelle-Hugon.

François Durand de Grossouvre, fils de Jean-François, également maître de forges mais moins entreprenant que son père, vendra le château et les terres en 1822. Un célèbre maître de forges, Georges Dufaud (1777-1852), polytechnicien, dont le père dirigeait les Forges de Guérigny dans la Nièvre, développera les activités métallurgiques à Grossouvre à partir de 1815. Georges Dufaud introduit à Grossouvre l’affinage au coke dans un four à réverbère et substitue le laminoir au marteau dans la forge de Trézy, première en Fran

Alexandre Aguado, marquis de Las Marimas, banquier espagnol, achète le château de Grossouvre en 1833.

La commune de Grossouvre est créée le à partir de territoires des communes de Vereaux, La Chapelle-Hugon et Sancoins par la Loi 011-287 du [23],[24], à la suite d'une demande d'Olympe Aguado adressée au préfet du Cher[25]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Amand-Montrond du département du Cher.

Elle faisait partie depuis sa création en 1863 du canton de Sancoins[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Dun-sur-Auron

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Cher.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Grossouvre est membre de la communauté de communes Les Trois Provinces, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1976 août 2023 Michel Monseau   Agriculteur sur moyenne exploitation
novembre 2023 En cours Robert Chollet   Retraité de la fonction publique

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 263 habitants[Note 2], en diminution de 7,07 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
601513497521508501509506619
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
621592608654550422429470420
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
400331254238277282287274263
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Grossouvre, des XIIIe et XVe siècles[29], propriété privée.
  • La halle à charbon de Grossouvre : musée sur les forges et l'industrie de la région[30].
  • "Les galeries" (1834) est l'immeuble HLM le plus ancien de France voire d'Europe[réf. nécessaire].
  • L'ancienne usine métallurgique (milieu du XIXe siècle)[31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Georges Dufaud (1777-1852), maître de forges, polytechnicien, industriel
  • Alexandre Aguado (1784-1842), marquis de Las Larimas, banquier, achète le château de Grossouvre en 1833.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Grossouvre Blason
D'or à la bande échiquetée de sable et d'argent de deux tires.
Détails
Armoiries des Grivel. Source M. Simonin et J.-P. Fernon.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Annie Laurent, Des fers de Loire à l'acier Martin : maîtres de forges en Berry et Nivernais, Bernard Royer, coll. « Saga », , 240 p. (ISBN 978-2908670295).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Grossouvre » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Grossouvre - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Grossouvre - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cher » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Grossouvre et Sancoins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Sancoins » (commune de Sancoins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Sancoins » (commune de Sancoins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Grossouvre », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. BOYER (Hyppolithe) LATOUCHE (Robert) Dictionnaire topographique du département du Cher (1926), p. 193.
  18. a et b Le Patrimoine des communes du Cher, Flohic Éditions, Tome II, page 923. (ISBN 2-84234-088-4). 2001.
  19. NEGRE (Ernest) Toponymie générale de la France (1998), t. 3, p. 1216.
  20. « Le château de Grossouvre et les Grivel », sur Pays Loire Val d'Aubois.
  21. « Epigraphie héraldique : les Grivel de Grossouvre, p. 199 », sur Revue historique, nobiliaire et biographique, t. X, dir. Louis Sandret, à Paris, 1875.
  22. « Jean-François Durand de Grossouvre (1737-1802) », sur Annales.org.
  23. Jean-Baptiste Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements, et avis du conseil d'État. Tome 63, page 348.
  24. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Association Aubois de Terres et de Feux. Fascicule Grossouvre a 150 ans. Page 3.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Le chateau de Grossouvre », notice no PA00125348, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « L'Espace métal - Halle de Grossouvre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), http://www.espacemetal.com (consulté le ).
  31. « L'ancienne usine métallurgique », notice no PA00135282, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.